Albertville et autour

Etant donné le contexte de réchauffement climatique accru dans les Alpes, se pose la question de la pérennité d’équipement au fil de l’eau comme les micro-centrales qui dépendent des débits des rivières et torrents.

Si l’association de défense de la nature, Vivre en Tarentaise se positionne plus pour une augmentation de la puissance des grandes centrales concédées existantes que pour la création de micro-centrales, EDF n’affiche pas de projet dans ce sens sur la Tarentaise et le Beaufortain actuellement. D’importants investissements ont déjà été réalisés sur La Bâthie et la Coche.

Le projet de micro-centrale hydroélectrique porté par la Société Serhy a fait l’objet d’une enquête publique au cours de laquelle l’association de protection de la nature Vivre en Tarentaise a déposé un avis négatif.

Viré comme un malpropre du Service départemental d’incendie et de secours en 2018, le commandant Fortin n’a cessé de se battre pour dénoncer une décision qu’il estimait aussi infondée qu’injuste. Et le pot de terre a fini par gagner contre le pot de fer !

Le plan de circulation affiché en juillet 2021 a fait long feu. L’inflation et des priorités nouvelles qui se sont rajoutées au fur et à mesure ont reporté la stratégie imaginée au début du mandat à une date ultérieure.

Devenir un chef d’entreprise connu et reconnu n’est pas simple, il faut parfois surmonter de nombreux obstacles avant d’atteindre ses objectifs… et satisfaire ceux de ses clients !

Le redoux des dernières semaines n’a pas empêché les vacanciers de profiter du ski. La station-village beaufortaine enregistre un tout petit pourcent de retard sur les réservations par rapport à la saison dernière.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. À l’époque, il se rendait souvent à la foire aux bestiaux près de l’Arly, un rendez-vous immanquable.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. Il se souvient des motards du territoire et de leurs repaires.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. Avant la zone industrielle, il se souvient d’étendues agricoles sans le moindre bâtiment.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. Désaffecté depuis belle lurette, le pénitencier se tenait encore derrière l’hôtel de ville, sur la place du même nom.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. Avant la construction du Dôme et de la place de l’Europe, il se souvient être beaucoup passé dans le quartier de la Poste.

Né en 1962, Pierre-Marie Carella a grandi dans l’Albertville des années 1970, avant les Jeux olympiques, avant la voie sur berges. Il raconte cette ville d’il y a 50 ans, à la fois si récente et si ancienne. Fils de libraires, il passe son enfance à la boutique de ses parents, au 48 rue de la République.

Après un grave accident de moto qui a failli lui coûter la vie, Brice Martinez a été amputé d’une jambe et d’un bras. Malgré cette infirmité, la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) ne l’estime pas assez invalide pour lui accorder une allocation.

François Hommeril, délégué syndical de Niche Fused Alumina, est le président du quatrième syndicat le plus puissant de France, le seul à se développer en termes d’adhérents : la CFE-CGC. Passionné et passionnant, il égratigne le système politique actuel.