Depuis 2021, la fréquence de tonte des espaces verts de la Cité de l’eau était réduite. Désormais la tonte raisonnée est étendue à trois autres parcs de Publier, pour préserver la biodiversité et les ressources en eau. Explications.
Comment les collectivités s’organisent-elles afin de sécuriser la ressource en eau du territoire ? Réparer les fuites, relier les différents secteurs, augmenter la capacité de production… De nombreux travaux sont prévus.
En 2022, la sécheresse a frappé le Chablais, réduisant les réserves d’eau potable. Aujourd’hui, elles ne sont pas encore revenues à leur niveau habituel. Et malgré la pluie de ces derniers jours, elles ne devraient pas se remplir beaucoup plus d’ici l’été.
La municipalité de Publier a envoyé un communiqué de presse vendredi 28 avril en matinée afin d’annoncer que le centre nautique de la Cité de l’eau restera portes closes tout l’été en raison de travaux.
Pour tous les acteurs du territoire, c’est maintenant que les préparatifs commencent pour encaisser une éventuelle sécheresse à l’été prochain. Du côté du Grand Annecy, les mesures d’anticipation ont déjà été lancées.
Pour tous les acteurs du territoire, c’est maintenant que les préparatifs commencent pour encaisser une éventuelle sécheresse à l’été prochain. Éric Daviet est éleveur près d’Alby-sur-Chéran. Avec ses associés, ils ont adapté la manière dont ils nourrissent leurs vaches.
Pour tous les acteurs du territoire, c’est maintenant que les préparatifs commencent pour encaisser une éventuelle sécheresse à l’été prochain. Charlène Descollonges, hydrologue sur le territoire, imagine différentes pistes pour en limiter les conséquences. Rencontre.
Après plus d’un mois de soleil, le retour de la pluie est annoncé à partir de mercredi. Sauf que la perturbation qui va traverser le pays pourrait ne pas apporter autant de précipitations qu’espéré. Le point.
L’été dernier a été marqué par d’importants feux de forêts en Gironde, Ardèche, Isère, Bretagne… Fin août, plus de 62 000 hectares de végétation avaient déjà brûlé. Trois sapeurs-pompiers locaux, engagés sur certains de ces incendies témoignent.
La préfecture de Savoie a allégé les mesures de limitation de l’eau ce jeudi 3 novembre. Mais le territoire demeure en état d’alerte : des restrictions restent en place pour éviter de trop puiser dans les réserves d’eau affaiblies du département.
Malgré les précipitations de la fin du mois de septembre, la pluviométrie d’octobre reste déficitaire. Si la quasi-totalité du département est repassé au niveau ‘‘alerte’’, le secteur du ‘‘sud-ouest lémanique’’ est le seul de la Haute-Savoie à rester au niveau ‘‘crise’’
Le Syndicat de la Rizerie Française s’inquiète d’une forte baisse de la production mondiale de riz. En cause : les événements climatiques, ayant perturbé les principaux pays producteurs. Dès l’année prochaine, les prix pourraient augmenter en France.
Les périodes de sécheresse qui ont touché les départements savoyards cet été ont amené d’importants dégâts visibles sur les forêts. Face à un changement climatique jugé trop rapide, la santé des forêts préoccupe les agents de l’ONF des Pays de Savoie.
Si la pluie est bel et bien de retour, la situation des cours d’eau du territoire reste critique. Le bassin des rivières du Haut-Rhône est toujours en alerte renforcée, ce qui engendre un maintien de plusieurs interdictions relatives à l’usage de l’eau.
La sécheresse est bien toujours d’actualité. A Armoy et au Lyaud, une opération de secours est activée depuis mercredi 14 septembre par l’agglomération pour garantir l’alimentation en eau des habitants sur ces deux communes.
Lundi 12 septembre, dans l’après-midi, un feu s’est déclaré à Saumos, dans le Médoc. Mardi matin, 340 pompiers sont mobilisés pour tenter de contenir les flammes, qui ont parcouru 1 300 hectares pendant la nuit, indique la préfecture de Gironde.
Jusqu’à présent préservé, le département de la Haute-Savoie va devoir se renforcer sur le front des feux de forêt face au réchauffement climatique, annonce le patron des pompiers.
En raison de la sécheresse exceptionnelle qui touche l’Hexagone, la récole de pomme de terre cette année s’annonce en recul d’au moins 20 %. Les pertes sont estimées à 200 millions d’euros.