À l’heure de la sobriété énergétique, consommer des produits locaux devient une évidence. Mais par où commencer ? Un site internet, développé par la Chambre d’agriculture Savoie Mont-Blanc recense tous les exploitations agricoles pratiquant la vente directe sur le territoire.
Ex-ingénieure en énergies renouvelables, cette Annécienne a tout quitté pour réaliser son rêve. En 2021, Marine Couchard s’est reconvertie dans la culture de fleurs comestibles et médicinales en créant sa ferme florale, La Brouette Bleue. Entretien.
Depuis 2021, Marine, la fondatrice de la ferme florale La Brouette Bleue, cultive une cinquantaine de variétés de fleurs et de plantes aromatiques, qu’elle vend aux restaurateurs et aux fleuristes du bassin annécien. Reportage.
Alors que notre agriculture locale est un pilier de l’économie haut-savoyarde. Les installations de nouveaux agriculteurs sont au nombre de 100 par an. Quels sont les projets de nos agriculteurs de demain et quels sont les freins qu’ils rencontrent ? Le point avec Alexandre Moulin, vice-président en charge des installations pour la chambre d’agriculture Savoie Mont-Blanc.
Le 1er mai prochain, Combloux accueillera le premier comice agricole intercommunal du Pays du Mont-Blanc. Au menu, un concours bovin de race Abondance, un marché des producteurs locaux, un espace de jeux pour les enfants, une buvette et de petits prix chez les restaurateurs participants.
La ferme « Les foins du p’tit Gaud » continue à faire parler d’elle. En bien. Ce mercredi 6 avril, un coup de cœur lui a été décerné, dans le cadre du premier prix pour l’agriculture en transition écologique du Grand Genève. Une récompense qui vient aussi couronner une belle histoire familiale.
Après une période d’incertitudes, le Comité de Jumelage et la municipalité promettent de faire vivre l’amitié franco-allemande grâce à divers échanges et réunions de travail, dans les mois à venir. Avant le 50e anniversaire du jumelage, prévu pour 2024.
La coopérative Jura Mont-Blanc joue un rôle crucial dans le bon fonctionnement de nombreuses exploitations agricoles. Exemple avec l’EARL Les Bellosses, à Vers.
Depuis quelques semaines, Julien Gaud a installé, sur son exploitation située à Vétraz-Monthoux, le premier poulailler mobile et 100 % autonome en énergie du département. Il défend le bien-être animal et la réduction de l’empreinte carbone.
Licencié en fin d’année dernière, le Sciezois Alex Keane a mis à profit les mois de confinement pour monter son exploitation agricole spécialisée dans la production de jeunes pousses de radis, brocolis ou encore tournesols.
Doucement mais sûrement, la vallée Verte est en train de prendre un nouveau virage : celui du bio. Une tendance qui s’illustre notamment chez les agriculteurs, de plus en plus nombreux à privilégier des pratiques naturelles pour des aliments plus sains. Et la clientèle est au rendez-vous.
Régulièrement, les sangliers s’invitent dans les cultures agricoles, occasionnant des dégâts importants pour les agriculteurs. Si pour les champs de maïs, les exploitants peuvent demander aux chasseurs de parquer, pour les autres céréales, c’est plus compliqué.
Après le confinement, l’arrêt temporaire des marchés, les problèmes de distribution, le manque de main-d’œuvre et la sécheresse, les agriculteurs ont vécu une année particulièrement difficile. À l’heure du bilan, ils semblent avoir réussi à limiter les pertes.
Dans le Pays de Cruseilles, la cueillette des pommes et des poires a commencé. Et la qualité promet encore d’être au rendez-vous cette année malgré les guêpes ou le campagnol qui ont fait des dégâts cette année dans les vergers.
L’initiative a été prise par la Chambre d’agriculture du Var. Elle a enterré des slips en coton bio au milieu d’exploitations agricoles pendant deux à trois mois pour étudier l’impact des pratiques agricoles sur l’activité biologique des sols.
