« C’est un dossier effarant ! Tout le monde a senti qu’on n’était pas loin du fait divers. Si, ce 19 novembre 2022, ma cliente n’avait pas appelé la gendarmerie, il y aurait probablement eu un drame », fait savoir Maître Diakowski, avocate de la victime, ce jeudi 30 mars, devant le tribunal judiciaire de Bonneville.
Et cela peut arriver à tout le monde, comme le fait remarquer la procureure : « Je suis toujours très surprise de voir des couples qui présentent bien, insérés dans la vie active, voir que ce type de violences peut durer plusieurs années. C’est intrinsèquement gravissime ce qu’il a fait subir à sa famille ! »