Un intérieur chauffé, avec des petits coussins et des paniers moelleux, voici le cadre de vie des pensionnaires de l’Ecole du Chat Libre à Neuvecelle. Ils sont nombreux à profiter de ce confort douillet pendant que leurs maîtres sont en vacances. Dans la même structure, des chats qui ont eu moins de chance. Perdus, abandonnés, ils ont trouvé ici un abri. Car l’Ecole du Chat libre, c’est à la fois une pension et un refuge. « Les frais de garde des uns nous aident à financer les soins et la nourriture de autres. On a déjà pu constater une augmentation alarmante des croquettes et de la pâtée, jusqu’à 30 % sur certaines marques. Mais ce qui nous inquiète beaucoup, c’est le prix de l’électricité qui va prendre l’ascenseur. Parce qu’il faut bien qu’on chauffe », se désole Patricia Dolciani, présidente de l’association. Elle n’envisage pas pour autant d’augmenter le prix de la pension, fixé à 12 euros par jour, tout compris.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour accéder à tous nos articles en illimité,
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.
J'en profite
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.