Etes-vous favorable à ce projet ?
Oui, j’y suis favorable à trois titres. D’abord en tant que Chablaisien. Quand je vois aujourd’hui les conditions de circulation de la traversée de Bons, de Douvaine… Mais ce qui me désole le plus, ce sont les impacts sur les réseaux secondaires qui subissent le déport de la circulation. Les deux grandes départementales ne sont plus calibrées à la réalité du flux aujourd’hui.
On peut dire ‘‘non’’ à l’autoroute mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Je crois beaucoup aux mobilités douces, au ferroviaire… Mais je ne crois pas que cela suffira. Il faut être réaliste. Le Chablais est mal desservi en ferroviaire, en lacustre… Il faut apporter des alternatives et ce n’est pas la seule ViaRhôna qui va apporter une réponse. C’est un élément parmi d’autres d’offres de mobilité.