Pendant toute la primaire, Pierre-Marie Carella est scolarisé à l’école Pargoud, située dans la rue du même nom. « Elle existe toujours, avec les murs et les vitres d’origine. À l’époque, ce n’était pas mixte ! »
Il se souvient que tout les matins, il passait par le quartier de la Poste, rasé pour y construire le théâtre du Dôme et la place de l’Europe. « Dans ce quartier, se rappelle-t-il, il y avait le salon de coiffure pour homme Chez Raymond, où ma mère m’emmenait couper les tifs. Il y avait l’entrée du cinéma Eden, qui a fini par tomber dans le porno. Il m’arrivait d’aller zieuter les photos présentées dans le couloir d’accès. Il y avait des commerces à gauche et à droite. »