Albertville
En acquérant le bien, Didier Richon et son associé pensent ne pas se tromper : il existe une solide attente des habitants du quartier, « la preuve le jour où j’ai ouvert les portes témoigne le premier, de nombreuses personnes sont venues me demander si ça allait rouvrir ». L’objectif numéro un, décrit-il, c’est de refaire un bureau de tabac-presse et épicerie sur les 100m² de surface commerciale (local plus cave). « Et si ce n’est pas atteignable, nous avons d’autres idées porteuses pour faire vivre ce commerce. Elles sont à l’étude ».