Aucun doute ne peut être fait sur l’existence d’un centre pénitentiaire, dans la rue de Belledonne à Chambéry. Des barbelés surmontent les murs d’enceinte de cette maison d’arrêt, mais aucun mirador ne permet d’avoir une vision d’ensemble sur l’établissement. « Nous sommes dans des bâtiments qui ont été construits en 1936, d’où notre présence en ville et un niveau de protection qui n’est pas le même que pour les centres plus modernes », introduit Frank Lamoline, chef de ce service pénitentiaire.
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