« J’ai arrêté mes études pour faire de la planche à voile et du planeur. J’ai vécu dans un pensionnat juste en face de la maison de ma mère que j’ai dû voir 4 ou 5 fois. C’était une enfance très compliquée. Je rêvais de m’échapper, je me suis dit qu’un jour je volerai. L’idée m’est venue de dessiner des bateaux qui volent. » Voilà comment se présente d’emblée Alain Thébault, tout juste 60 ans.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour suivre l'info locale en continu, je m'abonne !
J'en profite