Situé avenue Pierre-Mendès-France à Annemasse, l’hôpital privé Pays de Savoie fête son dixième anniversaire cette année. Cela est peut-être encore trop peu connu, mais l’établissement offre toutes les compétences nécessaires pour permettre une offre de soins complète en cancérologie/oncologie.
Formés dans de grands centres de lutte contre le cancer, à Genève pour l’un et à Paris pour l’autre, les Docteurs Céline Py et Wulfran Cacheux ont à leurs côtés toute une équipe qui s’occupe des patients, du dépistage au traitement, en passant par le suivi oncologique. Avec la clinique d’Argonay et le Centre de Radiothérapie de Contamine-sur-Arve, deux autres établissements du Groupe Ramsay Générale de santé, ils forment le Pôle cancérologie Pays de Savoie. « A l’HPPS nous pouvons prendre en charge 85 % des cancers, à l’exception de quelques cancers rares qui nécessitent des équipements spécifiques », explique le Docteur Py.
Une structure à taille humaine
« L’avantage d’être dans une petite structure comme celle-ci c’est de faire bénéficier à nos patients d’un délai de réaction très court dès le diagnostic établi, précise le Docteur Cacheux. Psychologiquement c’est très important pour eux et ça les rassure de savoir qu’ils ont toujours le même interlocuteur. » Un patient diagnostiqué d’un cancer et qui arrive en urgence trouvera toujours de la place en hospitalisation. « On fait en sorte qu’il ne passe pas par les urgences. »
Une équipe disponible et réactive
Les deux médecins insistent sur le fait d’avoir à leurs côtés une équipe disponible et réactive « Nous avons chacun notre propre secrétaire, ce qui n’est pas le cas dans les grandes structures. C’est un plus, non négligeable. » En plus des deux oncologues, les patients peuvent compter sur une équipe complète : deux médecins généralistes qui gèrent les hospitalisations, un infirmier coordinateur, personne référente pour orienter les patients durant tout le parcours de soins, un pneumologue, une nutritionniste, ou encore toute une équipe spécialisée dans la prise en charge de la douleur, comme des hypnothérapeutes. Sans oublier la présence des infirmiers de l’hôpital de jour. « Tout cela permet d’améliorer le pronostic, la tolérance au traitement et la qualité de vie du patient. »
– Un service de 24 lits, tous en chambre individuelle
– Plus de 300 nouveaux malades par an sont soignés à l’HPPS. « Nous avons encore de la marge qui nous permet de monter sans problème jusqu’à 500 patients par an. »
– Une équipe pluridisciplinaire
– Un hôpital de jour à côté pour les traitements à la journée
– Une salle de sport avec deux encadrants
– Des ateliers de randonnée et de marche nordique
– Travail en réseaux avec les hôpitaux de Lyon et de Grenoble
