Divonne-les-Bains : « La justice doit réagir, je ne lâcherai pas »

Selon Maître Boughida Bakour, «il est constant dans les dossiers de violences conjugales que les violences perdurent par l’intermédiaire des enfants.»
Selon Maître Boughida Bakour, «il est constant dans les dossiers de violences conjugales que les violences perdurent par l’intermédiaire des enfants.» - Pixabay

Cela fait près de deux mois maintenant que Julie* n’a pas vu son fils âgé de sept ans.

Pour comprendre la situation actuelle, il est nécessaire de remonter dans le temps. En 2010, Julie se marie avec un premier homme avec lequel elle a une fille aujourd’hui âgée de 12 ans. «  Cet homme était violent avec elle, c’est la raison pour laquelle elle l’a quitté  », raconte son avocate, Maître Nadia Boughida-Bakour.

Après la proclamation du divorce, une décision du juge aux affaires familiales fixe la résidence habituelle de la jeune fille au domicile de sa mère.

Quelque temps après, celle-ci rencontre celui qui sera son second mari, ainsi que le père de son deuxième enfant, un petit garçon âgé aujourd’hui de 7 ans. Peu après sa naissance, Julie demande le divorce, à cause des violences de ce mari.

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