Un peu plus d’un an de travaux ont été nécessaires pour passer de l’anarchie à la discipline aux abords du collège Jacques-Prévert et du gymnase Henri-Bellivier. Depuis la rentrée de début septembre, tant les près de 600 élèves de l’établissement que les parents et les chauffeurs de bus bénéficient d’une desserte plus claire et apaisée.
« Avant, il y avait un mélange des flux, la mobilité douce n’était pas balisée », rappelle Vincent Cholley, principal adjoint du collège depuis six ans, qui dit avoir « connu le pire. Les élèves n’avaient qu’un trottoir minuscule lorsqu’ils descendaient du bus. »