A bientôt 20 ans, Adélie se dit chanceuse : « J’estime qu’en tant que handicapée, je vis une vie normale, presque normale, confie-t-elle. Même s’il y a des choses difficiles, que je suis plus lente que les autres et que j’aimerais sortir un peu plus avec des amis, ce qui me peine un peu. » Atteinte d’une maladie génétique rare, la jeune femme vit avec ses parents à Saint-Jean d’Aulps et étudie aujourd’hui la restauration. « On s’est battus, on a tout fait pour qu’elle soit dans la vie normale, assure sa maman, Catherine Caggioli. Pourtant, déjà en primaire, ils voulaient l’envoyer à Thonon en établissement spécialisé. »
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