« Ce cours d’eau explique-t-il, est une petite dérivation du Nant des Ayes qui serpente dans la propriété et servait autrefois, notamment, à faire tourner le moulin du village ».
Pompiers, commune et gendarmerie sont alertés.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la pollution pourrait être d’origine humaine : un homme effectuant des travaux aurait rejeté dans le cours d’eau de la chaux vive.
Un geste bien malavisé aux conséquences regrettables qui doit sensibiliser les riverains des cours d’eau à l’attention qu’ils doivent y prêter : on n’y jette pas n’importe quoi sous prétexte de s’épargner un trajet à la déchetterie.