Comme de nombreux habitants du centre-ville curieux de leur environnement, Laurent a depuis longtemps remarqué l’imposante villa bourgeoise de deux étages (286 m2) qui marque l’entrée du parc Olympe-de-Gouges, situé rue du Faucigny et ouvert depuis 2015. Dans le même temps, ce graphiste franco-suisse se désole d’une « offre culturelle insuffisante » dans sa ville.
Au fil de ses promenades, celui qui vit à deux pas (avenue du Giffre) prête une attention de moins en moins distraite à la villa Tiberghien : « Je me suis dit que cet endroit serait idéal pour un projet de tiers-lieu culturel géré, dirigé et piloté par les citoyens. »