Depuis sa plus tendre enfance, Alice Passaquin-Marullaz a besoin d’occuper ses mains, de toucher, de créer. « Toute gamine, j’allais nourrir les oiseaux, je leur confectionnais des cabanes, je faisais des bonhommes avec des pommes de pin, explique-t-elle. Aujourd’hui, je peux décaper des meubles, voire en construire. Pourquoi pas couper un arbre à la tronçonneuse, rien ne m’arrête. »
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