En 1942, Perrin réunit autour de lui « des camarades dont il connaît le courage et la patriotisme » : Marty, Clappier, Guichon, Malagutti, Paquet et Zambonini.
Selon ce même rapport, Louis Chanel (instituteur et futur maire) rejoint également le Front National local. Le texte montre que ces hommes sont à la fois mus par leur engagement communiste et par leur détestation de la Collaboration mise en place par le régime de Vichy.