Jeudi, début d’après-midi, l’activité bat son plein dans les couloirs de la ressourcerie ouverte depuis le 8 novembre dernier.
Les objets s’empilent, ordonnés avec précision, dépoussiérés avec rapidité. Les odeurs de nettoyants, de bois, de ferraille, de cuir se mêlent et emplissent les allées.
Des tubes des années 80, 90 rythment la cadence tranquille de l’atelier.
De sa réception à sa vente, un objet parcourt environ 200 mètres « sur le chemin de sa nouvelle vie », raconte le directeur de l’établissement, Hervé Bénistant.