Quand on pousse la porte de leur atelier, dans la partie ancienne de la ville, on a l’impression d’entrer dans une autre époque : une lourde porte en bois et des murs en pierre posent l’ambiance. Anne-Flore et Thibaut, de l’Atelier Martinier, ont choisi de consacrer leurs vies à réparer celle des autres. Ou plutôt les instruments des autres, ce qui, à les écouter, revient au même : « Le musicien est attaché à son instrument, c’est viscéral, c’est le cœur ».
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