L’ endroit est comme un sas pour les personnes qui arrivent en France », nous explique Sabrina Latreche, chef de service au sein de l’association Alfa3a. Après quelque temps, les réfugiés vont dans les grandes villes aux alentours, dans des logements autonomes ou dans des familles d’accueil qui les hébergent. Toute l’organisation est gérée par Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités qui « coopère avec la préfecture afin de préconiser les orientations », précise Sabrina Latreche. Il arrive aussi que certains retournent en Ukraine, pour vérifier l’état de leur habitation, ou retourner auprès de leurs familles. Mais cela reste exceptionnel. « De base, les gens devaient rester de sept à dix jours au sein de la résidence, mais généralement ils restent plus longtemps avec nous, car le temps de tout mettre en place est un peu plus long.
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