Aurélie et Florian, vos haricots ont-ils toujours faim ?
Ils ont surtout soif. On les plantera vers la mi-mai, ce sont des haricots à rame, ils mettront 2 mois à pousser, avant que nos clients puissent les goûter.
La faim justifie-t-elle les moyens ?
C’est un vrai plaisir de travailler en culture vivrière et de pouvoir satisfaire la faim de nos clients avec notre production, en plus des fruits et légumes que nous commercialisons déjà au travers de 3 Amaps, à Albertville, Beaufort et Chambéry, du marché de Grésy et de l’épicerie Court Circuit à Ugine, nous allons proposer des fruits rouges, des plants de légumes et des bocaux de produits transformés.