Tout allait bien. La météo était mauvaise. Le cinéma se redressait doucement. Après une année noire, les gens revenaient dans les salles. À Douvaine, la fréquentation repartait. On se croyait tirer d’affaires, enfin. Jusqu’à l’instauration du pass sanitaire. C’était le 21 juillet. Du jour au lendemain, plus rien, « notre salle s’est vidée », raconte le patron des cinémas chablaisiens indépendants. Philippe Piccot en parle comme d’une catastrophe. Un orage d’été, une avalanche. « On s’est fait assassiner. »
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