Haut-Rhône : comment la biodiversité a été protégée pendant l’abaissement du fleuve

Vue du Rhône depuis le pont de Grésin, au début de l’abaissement.
Vue du Rhône depuis le pont de Grésin, au début de l’abaissement.

Les opérations d’abaissement du Rhône se sont achevées, dimanche 30 mai, côté français, et lundi 31 mai, pour nos amis suisses.

Essentiels, pour prémunir Genève d’une inondation, les procédés de gestion sédimentaire ont des conséquences dommageables sur la biodiversité.

Dimension, a priori, prise en compte par la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) et les Services industriels de Genève (les SIG, chargés de l’opération côté genevois, Ndlr).

«  On accepte tous l’idée que les fleuves sont vivants, utiles aux hommes, et on doit respecter la biodiversité, à la fois dans et à côté du Rhône  », déclare Elisabeth Ayrault, présidente-directrice générale de la CNR.

Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour suivre l'info locale en continu, je m'abonne !
J'en profite