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ierre, comment êtes-vous arrivé à Giron ?
Grâce à Martin Chevret, le menuisier, que j’ai rencontré à Montpellier pendant mon tour de France. On est devenu amis. A Nîmes, je ne me plaisais plus, alors il m’a dit « viens chez nous, à Giron ! » C’était en 2018. J’ai juste pris le temps de passer un brevet de métiers d’art à Reims avant de débarquer. Martin m’a installé dans une partie de l’ancienne scierie, qu’il a reprise pour son atelier de menuiserie. J’ai bossé un peu dans le coin, puis j’ai monté ma société en 2019, équipé et agrandi mon local…