L’ancien directeur de site d’une usine de décolletage de Marignier avait-il une dent contre l’un des délégués du personnel élu au comité d’entreprise ? Malgré les nombreux témoignages et les faits rapportés par le plaignant, le tribunal de Bonneville a estimé que les éléments présentés n’étaient pas suffisants pour condamner le prévenu.
Pour autant, et chacun l’a reconnu au tribunal, il régnait, au moment des faits, une sale ambiance dans l’usine où les provocations étaient réciproques. Retour sur deux ans de conflits entre direction et syndicat…