C’est un chalet étroit dans lequel respire comme une fausse atmosphère de vacances. A la nuit tombante, dans un froid à couper au couteau, Alain Dewaele ouvre les portes de son petit chez lui, à une centaine de mètres de la plage, là où s’engouffrent encore facilement quelques grains de sable.
Habitué au faste des discothèques mondaines de la Côte d’Azur, le quadragénaire se réinvite aujourd’hui dans son 30 m² des rives du Léman, frappé par une bise automnale.