D’abord, il a fallu célébrer. Réaliser que cette folle soirée du 28 juin relevait de l’exceptionnel, d’une bascule politique jamais vue dans une ville d’Annecy peu habituée à ce genre de vague. La victoire de l’écologiste François Astorg aux élections municipales fin juin, « c’était comme un but à la dernière seconde en finale de la coupe du monde », s’amuse aujourd’hui un proche du nouveau maire. Le genre de soirée qui reste gravée dans les mémoires.