Emploi frontalier : « On va rentrer dans le dur entre novembre et décembre »

Michel Charrat est le président du Groupement transfrontalier européen (GTE).
Michel Charrat est le président du Groupement transfrontalier européen (GTE). - Photo d’archives.

Protagoniste de premier plan lorsqu’il s’agit d’évoquer l’emploi frontalier en Suisse, Michel Charrat livre sa vision de l’évolution d’un marché fragilisé par la crise sanitaire.

Dimanche 27 septembre, les Genevois seront invités à se prononcer sur l’instauration d’un salaire minimum à hauteur de 4 000 euros. On vous imagine en défenseur de l’initiative...

Oui, je ne peux qu’être pour ! Cela permettrait d’établir une égalité entre résidents et frontaliers. Et si la votation passait, on nous accuserait sûrement moins souvent de dumping salarial, ce qui n’a d’ailleurs jamais été prouvé.

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