D’un côté, il y a les vendeurs fixes, installés au bord du lac, et de l’autre les ambulants, ceux qui enfourchent chaque jour leur vélo pour arpenter le Pâquier, ou encore la plage d’Albigny. Ces «confrères» sont pourtant loin de connaître une entente parfaite.
Les premiers voient en effet rouge chaque été, à l’arrivée des beaux jours et des touristes, face aux abus des itinérants. « Ils sont environ 6 ou 7 à passer chaque jour sur les bords de la plage, mais le problème, c’est que bien souvent, ils se posent à un endroit pour vendre leurs produits alors que c’est interdit » expliquent-ils.