5 bonnes raisons de s’adresser au Groupement Transfrontalier Européen

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1 - Se préparer au marché de l’emploi suisse

Dénicher un travail en Suisse n’a rien d’une partie de plaisir. Le mode opératoire en matière de recrutement est extrêmement différent de ce que l’on peut connaître en France. En cela, le GTE fournit une aide essentielle : «On va travailler sur le CV, la lettre de motivation. Former les demandeurs à la culture suisse, leur permettre d’estimer les salaires en fonction des postes qu’ils recherchent », détaille ainsi Laurence Coudière, chargée de communication au GTE.

2 - Bien démarrer sa carrière en Suisse

La prochaine étape, une fois le job décroché, consiste à ne surtout pas commettre de faux pas dans le choix de son assurance. Une nouvelle fois, l’association est là : « Les frontaliers doivent être attentifs. Dès la prise d’emploi, il faut déterminer le choix de son assurance maladie pour les soins. Il faut se positionner dans les trois mois sinon ils seront rattachés automatiquement au régime suisse. Nos conseillers sont là pour les aiguiller. Nos fiscalistes accompagnent également chaque année nos adhérents dans leur déclaration fiscale suisse ou française », poursuit Laurence Coudière.

3 - Faire face au changement

La vie de frontaliers n’a rien d’un long fleuve tranquille et le travailleur s’expose constamment à voir son quotidien bouleversé. Modification du contrat de travail, licenciement, changement d’employeur, arrêt maladie ou accident du travail … Il faut savoir parer à toute éventualité. « Une nouvelle fois nos juristes, spécialisés dans le droit du travail et la protection sociale suisses, répondent aux interrogations », détaille la chargée de communication du GTE.

4 - Bien organiser son départ à la retraite…

Un départ à la retraite s’organise au moins un an et demi à l’avance. Et quand il ne peut compter sur une CARSAT débordée pour répondre à ses questions, le frontalier peut vite se retrouver désœuvré. « Que faire si vous voulez changer de département en France ? Que faire de votre deuxième pilier ? Nous avons les réponses ! »

5 - … Et rester vigilant pour la suite

Une fois la retraite acquise, le lien n’est pas forcément rompu avec le GTE. Loin de là. Ces désormais ex-travailleurs frontaliers ne sont pas à l’abri de réformes venant chambouler leurs statuts. Un coup de pouce reste de circonstance. Le Groupement est encore et toujours là pour épauler ses adhérents.

Un magazine édité 5 fois par an

Les frontaliers adhérents au GTE sont tenus au courant de l’actualité transfrontalière par le biais d’un magazine, édité cinq fois par an par l’association. Certains gros dossiers y sont évoqués. « La déclaration de revenus en France », « Comment sera pris en charge un arrêt de travail ? », « Comment est traitée l’invalidité dans les relations transfrontalières ? », pour ne citer qu’eux.