C’est un soutien de taille qui vient de rejoindre le «pool» de repreneurs français mené par l’avocat parisien Didier Poulmaire. Ce dernier a convaincu Bernard Hinault d’apporter son nom et son image au dossier de reprise formulé devant le tribunal de commerce de Grenoble. C’est en Isère en effet que le sort de Mavic – placé en redressement judiciaire ce printemps – sera scellé au plus tard à la mi-juillet.
Dans cette bataille engagée pour sauver le fleuron haut-savoyard, 13 autres offres ont été déposées par des investisseurs étrangers et le groupe désormais appuyé par celui que l’on surnomme «le blaireau» fait plutôt figure de challenger.